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dimanche 20 février 2011

Biographie de sa majesté le roi Mohamed 6

Mohammed VI (en arabe : محمد السادس), né le 21 août 1963 à Rabat, est roi du Maroc depuis le 23 juillet 1999, date du décès de son père Hassan II.

Ascendance

Mohammed VI est le vingt-troisième monarque de la dynastie alaouite, qui règne sur le Maroc depuis le milieu du XVIIe siècle, le troisième à porter le titre de roi.
D'après la tradition, les Alaouites sont des chérifs (descendants de Mahomet). Originaires de Yanbo, petite oasis d’Arabie, sur la côte de la mer Rouge, ils seraient venus s’installer à Sijilmassa, dans le sud marocain, au milieu du XIIIe siècle.

Les années de formation du prince héritier[modifier]

Fils de Hassan II et de Lalla Latifa, la « Mère des enfants royaux » (les informations à son sujet demeurent confidentielles), Sidi Mohammed est né le 21 août 1963 à Rabat. Son père le fait entrer, à l'âge de quatre ans, au Collège royal de Rabat. Le 28 juin 1973, il obtient le Certificat d’études primaires et poursuit ses études secondaires au Collège royal où il obtient son baccalauréat en 1981.
En 1985, il obtient sa licence en droit à la faculté des sciences juridiques, économiques et sociales de Rabat. Le sujet de son mémoire porte sur « L’Union arabo-africaine et la stratégie du royaume du Maroc en matière de relations internationales ».
En 1987, il obtient le premier Certificat d’études supérieures (CES) en sciences politiques avec mention. En juillet 1988, il réussit, avec mention, ses derniers examens pour l’obtention du DEA en droit Public.
Afin de compléter sa formation et de vivre de près la pratique des principes et des règles de droit appris à la Faculté, son père décide de l’envoyer, en novembre 1988, à Bruxelles, en vue d’effectuer un stage de quelques mois auprès de Jacques Delors, président de la Commission européenne.
Dès son plus jeune âge, il est souvent chargé par son père, de nombreuses missions auprès des chefs d'État. Il a ainsi participé à plusieurs conférences internationales et régionales.
Sa première mission officielle à l’étranger a lieu le 6 avril 1974, quand il représente Hassan II lors des obsèques du président français, Georges Pompidou. Du 23 au 30 juillet 1980, il effectue une tournée dans plusieurs pays africains et rencontre les présidents Léopold Sédar Senghor du Sénégal, Ahmed Sékou Touré de Guinée, Félix Houphouët-Boigny de la Côte d’Ivoire, Ahmadou Ahidjo du Cameroun et Shehu Shagari du Nigeria. Il leur remet des messages personnels du roi Hassan II.
Le 18 mars 1982, il est nommé Président du Comité d’Organisation des IXe jeux Méditerranéens de Casablanca. Le 10 mars 1983, il préside la délégation marocaine aux travaux du VIIe sommet des pays Non-Alignés à New Delhi et prononce un important discours dans lequel il rappelle les positions du Maroc à l’égard de diverses questions arabes, africaines et internationales. Le 21 septembre 1983, le prince héritier préside la délégation marocaine aux travaux du comité de mise en œuvre de l’Organisation de l'unité africaine sur le Sahara à Addis-Abeba.
Le 26 novembre 1985, il est nommé, par le souverain, coordonnateur des bureaux et services de l’État-Major Général des Forces armées royales.
Du 11 au 18 mars 1986, le prince héritier effectue une visite officielle en Arabie saoudite. Du 7 au 21 mars 1987, Il se déplace en visite officielle au Japon. Le 23 février 1989, il représente le roi Hassan II aux obsèques de l’Empereur du Japon Hirohito.
Le 29 octobre 1993, il obtient, à l'université de Nice Sophia-Antipolis en France, le titre de docteur en droit avec la mention « très honorable », suite à une thèse intitulée « La coopération entre la Communauté Économique Européenne et l’Union du Maghreb Arabe ».
Le 12 juillet 1994, il est promu, par son père, au grade de Général de Division.
Le 12 avril 1994, il préside l’ouverture des travaux de la conférence ministérielle du GATT à Marrakech. Le 4 mai 1994, il participe aux travaux de la réunion du groupe consultatif, à Genève, à l’occasion de la Commémoration du 50e anniversaire de la constitution de l’ONU.
Le 12 janvier 1995, il préside l’ouverture des travaux de la Commission Nationale pour la Commémoration du 50e anniversaire de l’ONU. Du 21 au 27 juin 1997, il représente le roi Hassan II aux travaux de la session extraordinaire de l’Assemblée générale des Nations unies sur l’Environnement intitulée « Le Sommet de la Terre +5 ».
Après le décès d'Hassan II le 23 juillet 1999, il est proclamé roi du Maroc. Son intronisation est célébrée le 30 juillet 1999.
Le 22 juin 2000, il a été nommé Docteur honoris causa à l’Université George Washington.
Fils d'un roi habitué à gouverner seul et qui a laissé à son successeur le soin de moderniser la monarchie, Mohammed VI hérite d'un pays placé au 108e rang dans le monde pour le développement économique et social. Si l'idée d'une « transition à l’espagnole », à l’exemple de l’arrivée au pouvoir de Juan Carlos Ier d'Espagne, peut décrire l’espoir de tout un peuple, les grands problèmes à résoudre (la question des islamistes et du Sahara occidental notamment) sont d'une tout autre nature. La dénonciation de « l’immobilisme » du Makhzen (l’administration toute puissante) et le limogeage du ministre de l'Intérieur Driss Basri, trois mois après sa montée sur le trône, marquent une volonté de démocratisation, renforcée par l’autorisation du retour au Maroc de l’opposant historique au régime, Abraham Serfaty.
Les différentes forces politiques démocratiques de droite comme de gauche restent unies par un nationalisme intransigeant, qui s'exerce en faveur de la « marocanité du Sahara occidental » et face à l’Algérie voisine avec qui les relations ont toujours été aigres-douces.
Sur le plan des libertés, les espoirs nés de l’arrivée au pouvoir de Mohammed VI, en 1999, se sont progressivement évanouis, même si les tabous ont progressivement reculé ces dernières années. Rapport Reporters sans frontières 2007
Le problème du Sahara occidental semble aussi en voie de résolution grâce en partie à des propositions audacieuses de la part du gouvernement marocain[1]. En 2006, le Maroc a accordé une autonomie interne, et a confié au Conseil royal consultatif pour les affaires sahariennes (CORCAS) l'étude des possibles statuts d'autonomie dans la région.
En juillet 2009, pour ses dix ans de règne, il décide de gracier 25 000 détenus.
Le roi Mohammed VI et sa famille possèdent le groupe ONA, une holding, qui investit dans plusieurs domaines d'activité (mines, agroalimentaire, grande distribution et services financiers...) faisant de la famille royale une de plus grosses fortunes mondiales[2]. En 2009, le magazine américain Forbes le classait à la 7ème place des monarques les plus riches de la planète[3]. La fortune de ses investissements équivaut à 6 % du produit intérieur brut du Maroc. Le roi peut être d'ailleurs considéré comme le premier opérateur économique privé du Royaume[4]. Mohammed VI est religieux mais aussi financier et humanitaire, puisque la Zaouïa Naciria reverse chaque mois l'intégralité des dons reçus à deux mille mendiants handicapés de Marrakech.

dimanche 13 février 2011

ORIGINE DE LA SAINT VALENTIN

Nous pouvons dans un premier temps, nous demander légitimement qui est ce fameux St Valentin ?
En fait, il n’y a pas qu’un seul Saint Valentin mais au moins trois (peut être sept), qui ont tous été des martyrs :
- Valentin de Rome qui vécut au 3ème siècle, apparemment il bénissait les mariages interdits et il fut décapité le 14 février juste après avoir donné un petit mot à la fille du gardien en forme de cœur avec écrit  » De ton Valentin », c’est surement ce geste qui engendré le fait d’offrir une carte St Valentin, ce jour là.
- Valentin de Terni toujours au 3ème siècle en Italie qui lui aussi exécuté le 14 février après avoir conseiller des amoureux et en leur faisant des fleurs comme offrandes qui s’empressaient d’offrir à leur bien-aimée. Voici peut être pourquoi les fleurs sont les présents les plus offerts le jour de la St Valentin.
- Et enfin un Valentin venant d’Afrique du Nord mais hélas on n’en sait pas mieux sur lui.
Dans la Rome Antique les 14 et 15 février fêtaient Lupercus, dieu de la Fertilité. C’est une fête où était sacrifiée une chèvre qui devait être touchée par toutes les femmes afin d’augmenter leur fertilité et faciliter leur accouchement.
Ces jours ont donc été longtemps la fête des célibataires avec notamment une partie de cache cache géant où les hommes devait retrouver la femme qu’ils épouseraient dans l’année. Il était aussi organisé une sorte de loterie avec des garçons comme lots. Mais la question est de savoir s’il y avait des lots pour tout le monde…
La St Valentin, aujourd’hui …
Aujourd’hui, la St Valentin est devenue la fête des amoureux qui s’offrent des chocolats, des fleurs, des poèmes d’amour et des mots doux afin de se prouver « leur amour ».
La St Valentin est maintenant présente en Asie où elle a acquit une grande popularité surtout avec l’effet commercial.
Au Japon, les femmes se doivent d’offrir des chocolats (qui sont assez chers) à tous leurs collègues masculins qui doivent remercier à leur tout chaque femme avec un cadeau blanc, le jour du « White day » un mois plus tard. Et ce cadeau sera environ trois fois plus cher que celui que la femme aura offert.
La Saint Valentin s’est aussi généralisée en Afrique et au Moyen Orient, et est souvent controversée par certains groupes qui sont contre l’influence occidentale.
En Amérique du Sud, la fête des amoureux n’est pas le même jour (le 12 juin au Brésil, et en septembre en Colombie).